Récit policier documents variés
la chue et la situation finale
le professeur empunta le tlphone d'unelève et appela le numero
la chute et la situation finale
Le professeur emprunta le téléphone d'un élève et appela le numéro de Soufiane aussitôt une sonnerie retentit dans le cartable de Rachid. Tout le monde braquait son regard sur lui de telle sorte qu’il rougit. Soufiane poussa enfin un soupir de soulagement néanmoins sa joie n’avait malheureusement pas dure trop longtemps, en effet Rachid, pour échapper aux regards embarrassants de ses camarades, sortit tout de suite son téléphone. Les deux portables ont des sonneries identiques pourtant ils sont de marques différentes. Soufiane était aussi déçu que le prof, tellement déçus que ce dernier s’assit au bureau, enleva ses lunettes pris une gorge d’eau puis se plongeait dans ses pensées. Quelques minutes après, la sirène sonna, bousculades, cris, éclats de rires, c’était l’heure de recréation.
Le lendemain, Soufiane emporte par la joie, se dirigea, son téléphone à la main droite, vers son prof labri qui lui demanda :
Comment est ce que vous l’avez trouvé et où ?
Tout d’abord, Je vous remercie Monsieur de votre aide pour récupérer mon téléphone et je m’excuse d’avoir perdu votre temps ainsi que celui de mes camarades. Hier, lorsque je sortis le livre de maths pour faire mes devoirs, je sentis qu’il pesait plus que d’ordinaire. En le secouant, Le téléphone en tombait.
Il n’a pas sonne parce qu’il était en mode silencieux histoire de ne pas vous déranger.
Ainsi, Le professeur larbi demanda à ses élèves de ne jamais apporter leur téléphones ni les objets de valeurs en classe car ils étaient interdits en plus, en cas de pertes, les profs n’en seraient pas responsables.
Meurtre à l'école,
par Emilie Martel et Jennifer Loncq.
Aujourd'hui, comme tous les mercredis matin, à l'école primaire Jacques Brel de Berck, Madame Calias, femme de ménage, vint pour nettoyer les salles de classe. Elle alla donc chercher son matériel qui se trouvait sous le préau à côté des toilettes des filles.
Environ deux heures plus tard, après avoir fini de nettoyer, Madame Calias alla ranger son matériel en chantonnant. Il était presque midi. Soudain, lorsqu'elle ouvrit la porte du placard, un cadavre d'une fillette de six ans lui tomba dans les bras. Elle eut très peur, elle poussa un cri effrayant. Un passant l'entendit. Il alla donc voir ce qui se passait. Dès qu'il vit ce cadavre affalé dans les bras de cette femme de ménage, il eut de suite le bon réflexe d'appeler la gendarmerie. Cinq minutes plus tard, la brigade de Berck arriva sur les lieux du crime. Après une heure d'observation, Madame Orcher, commissaire de police, décida de contacter un enquêteur, Monsieur Castagnette.
Pour commencer, les scientifiques relevèrent les empreintes appartenant à un certain Monsieur Roger nommé « Zinzin » car il était fou. Monsieur Castagnette mit de suite Monsieur Roger en garde à vue et lui demanda où il se trouvait entre neuf heures et midi ! Zinzin dit qu'à cette heure là, il était à l'hôpital psychiatrique de Berck et que, vers neuf heures et demi, il était simplement sorti faire un tour en passant par le petit chemin de l'école. Il dit aussi qu'il s'était assis sur le banc du préau à coté du placard à balai.
Monsieur Castagnette alla de ce fait à cet hôpital, pour confirmer l'alibi. Zinzin avait dit vrai, donc il ne le soupçonna plus de rien. L'enquêteur décida de chercher si, lors du crime, les professeurs de l'école étaient chez eux ou pas.
Monsieur Castagnette alla donc rendre visite à 1a voisine d'une des professeurs de l'école se prénommant Madame Jupon. Madame Slinski, voisine de madame Jupon, confirma que sa voisine n'était pas chez elle lors du crime car ses volets étaient fermés et que Madame Jupon prenait tous les matins l'habitude d'aller boire son café chez sa voisine. Une pauvre petite grand-mère âgée de quatre-vingt ans a affirmé à Madame Slinski, avant de mourir le jour du crime, que Madame Jupon rôdait dans les parages de l'école vers midi et demi, c'est-à-dire juste après le crime.
Monsieur Castagnette se dirigea donc chez Madame Jupon. Elle n'était pas chez elle, il n'y avait que son mari. Monsieur Castagnette lui demanda où était partie sa femme. Monsieur Jupon confirma que sa femme devait se rendre à l'aéroport vers une heure moins le quart de l'après-midi juste après avoir mangé. L'enquêteur lui posa plusieurs questions :
-«Est-ce qu'à votre avis votre femme a déjà décollé pour Marseille?
- Oh non, je ne pense pas. Il n'est que trois heures et ma femme m'a dit qu'après être arrivée à l'aéroport de Lille, elle ne décollera pour Marseille que vers cinq heures. Comme ça, elle aura le temps de se préparer mentalement pour prendre l'avion car elle en a la phobie.
- C'est tout de même bizarre !
- Pourquoi, Monsieur l'enquêteur ?
- Votre voisine m'a dit que vos volets sont restés fermés toute 1a matinée et, de plus, elle ne m'a en aucun cas parlé de ce voyage que votre femme a organisé. Et vous, Monsieur, où étiez-vous toute 1a matinée ?
- Ma femme n'a parlé de ce voyage qu'à moi. Elle est partie là-bas en formation pour son métier. Je n'ai fait que dormir toute 1a matinée, je suis très fatigué en ce moment.
- Bon, très bien Monsieur Jupon, je vais vous laisser.
- Mais, Monsieur Castagnette, que comptez-vous faire à présent?
- Je ne peux pas vous en dire plus pour le moment.
- Au revoir, Monsieur Jupon.
- Au revoir, Monsieur l'enquêteur. »
Monsieur Castagnette contacta Madame Orcher, commissaire de police, pour aller trouver Madame Jupon qui était, comme le certifiait son mari, à l'aéroport de Lille. Quand l'enquêteur et Madame Orcher arrivèrent à l'aéroport, Madame Jupon attendait, comme l'avait précisé son mari, que son avion arrive. Madame Jupon leur dit qu'elle était là en formation pour son métier. Son mari avait donc dit vrai. L'enquêteur décida de laisser de coté Madame Jupon car il se doutait qu'elle n'avait commis aucun de ces crimes.
En fouillant dans les casiers judiciaires, 1a police découvrit un nom : Madame Sylvie Bouboule. Madame Orcher emmena son dossier au laboratoire scientifique. A l'oeil nu, les empreintes de Madame Bouboule étaient identiques à celles de Madame Jupon. Cela signifiait donc qu'il fallait rechercher Madame Bouboule. Madame Orcher comprit tout de suite que c'était Madame Bouboule la tueuse en série car elle avait tué cette vieille femme qui était témoin. De plus, une esthéticienne appela 1a gendarmerie car elle avait vu dans le journal cette histoire de meurtre et Madame Bouboule était venue dans son magasin se transformer en sosie de Madame Jupon qui fut soupçonnée de meurtre à tort.
La police retrouva Madame Bouboule et la mit directement en garde à vue. Elle mentit mais finit par avouer que c'était elle la coupable. Elle avait tué une enfant de six ans qui s'appelait Sylvie. A six ans, elle avait été abandonnée par ses parents qui la maltraitaient. La police lui mit trente ans de prison ferme et cent mille euros d'amende. Madame Bouboule se retrouva donc en prison triste et pleine de désespoir.